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Au tournant des 19e et 20e siècles, les cavalcades sont des fêtes populaires très prisées.
Édifiée entre 1892 et 1894 par l’architecte roubaisien Édouard Dupire-Rozan (1842- 1901), la demeure est vendue par la veuve de Victor Vaissier en 1925, puis démolie par ses nouveaux propriétaires en 1929.
Les représentants des Savons du Congo pouvaient proposer à leurs clients toute la gamme des produits grâce à la malle ainsi qu'à des catalogues de démonstration.
La popularité des savons Vaissier reste indissociable des campagnes publicitaires monstres que l’industriel orchestra magistralement durant plus d’une décennie.
La collection Vaissier du musée, après de récents achats, permet de présenter un échantillon significatif de la production de la Savonnerie du Congo, sans pouvoir toutefois prétendre à l’exhaustivité.
La politique d’acquisition du musée a permis depuis plus de dix ans de constituer un fonds Vaissier, enrichi récemment d’une partie d’archives liées à la Savonnerie du Congo.